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— CHALONS-EN-CHAMPAGNE — Parc Expo


C’était le 25 Mars 2018. Ce soir était si attendu.


Je suis au deuxième rang, à droite. Droite, comme à mon habitude, de « mon côté », côté du pianiste, dont je suis fan, tout autant que Slimane.


18h, la première partie commence : c’est Suzane qui chauffe la salle, à travers sa musique électro-pop française dont on accroche tout de suite. On adore son côté décalé très vite attachant. Elle remercie Slimane à plusieurs reprises… et après une entracte de 20 minutes, le concert, le vrai, va commencer…


OK. J’étais pas prête. Un petit discours énoncé par Slimane ouvre ce show qui promet d’être riche en émotions. Il nous recommande d’isoler un peu nos téléphones, rien que pour cet instant, et de profiter pleinement du moment.


C’est avec une version assommante que « Solune » démarre. On voit l’équipe défiler du fond de la salle en revenant sur la scène, vêtus de capes noires et de néons lumineux.

Puis les premières paroles sont prononcées… et là mon cœur se serre.

Ma chanson favorite là, en ouverture… je suis achevée dès le départ. Le couplet « il y a eu tout ça il y a eu la scène… » me fait fondre en larmes. Ses mots pesés mêlés aux gestes des danseurs et à la musicalité si émouvante… c’est déjà trop pour moi. Et quelle mise en scène…


Viennent ensuite des chansons du premier album, comme « Frérot », « Adieu » où il nous laissera chanter les refrains, comme au bon vieux temps. Il reprend « Abîmé » d’une autre façon, dans les graves avec une particularité sur le refrain qu’il noue avec une gestuelle saccadée que j’adore…


« Je veux être vieux » m’a complètement bouleversée. La finalité de la chanson est poignante et sa voix raisonne. C’est grandiose, merveilleux, inégalable, majestueux.


Je craquerai ensuite pour « J’en suis là », mon deuxième morceau coup de cœur de Solune, qu’il jouera au piano de Yaacov, qu’il rejoindra au second couplet… Ils sont dos à dos et jouent tous les deux. Quel moment magique… Yaacov et son regard charbonneux, ce mec est bouleversant.


J’ai adoré son histoire concernant la chanson « Papa héros », j’ai apprécié aussi « Luna » sur laquelle il fait intervenir le public, ou plutôt les filles, les « lunas ». Une ambiance toride face à la déesse Cindy (danseuse), et le public qui participe davantage en répétant après lui "ohlala la Luna ohlala...", à gauche, au milieu, à droite, à l'unissons... ! Je n’oublie pas « Quand je serai grand » où il fait l’enfant et ça, ça nous fait tour craquer… « 1, 2, 3… Solune ! ».


Gros coup de love pour « Désolé » où le public est bouillant, et où les musiciens sont encore plus mis en avant lors de leur solo tous ensemble, qui est juste exceptionnel. Quelle complicité !

Et les danseurs… nous sommes figés dessus, ils sont uniques et authentiques.


Slimane n’hésite pas à nous rappeler que lui aussi est danseur… avec ses pas sexy et ses déhanchés qui rendent fous.


« Paname » version jungle, on valiiiiide !

« Les saisons », sublime. « Au-delà » avec les jeux de lumières, inoubliable et extrêmement accrochant, innovant, beau quoi !


Toutes ses prestations avec de temps à autres des petits regards lancés, heureux, de sa part. Quel bien… le bonheur à double sens.


"L'absence" : majestueux. Le final avec l'ouverture de ses "ailes" qui illuminent tout le public avec la réflexion de la lumière, j'appellerai ça "l'effet papillon"... trop trop émouvant, ce geste doux et illuminé mêlé à ses paroles "elle s'envole grâce à vous"...


Il terminera avec « Viens on s’aime » (une deuxième fois, mais sous un autre angle) avec une certaine proximité avec le public. Quelle intimité… Quel partage, quel bonheur ! La ☼ solunescence ☽ s'est propagée ce soir...


Lou.



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